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Le langage universel des couleurs de Li Hongtao

Publié le : 11 Avril 2025

Par : Hervé Lancelin

Catégorie : Critique d’art

Temps de lecture : 15 minutes

Li Hongtao fusionne tradition chinoise et expressionnisme occidental, créant des oeuvres où les couleurs vibrent d’une vie propre. Ses tableaux ne semblent pas peints, mais surgis comme si les pigments s’étaient organisés spontanément selon les principes qui gouvernent la formation des nuages.

Écoutez-moi bien, bande de snobs. Dans l’univers de l’art contemporain, certains créateurs se contentent de suivre les courants établis, reproduisant les formules éculées qui leur garantissent une place confortable dans le panthéon des médiocres célébrés. Et puis il y a Li Hongtao, ce phénomène pictural venu de Chine qui fait irruption dans nos galeries occidentales comme un typhon de couleurs et d’énergies brutes.

Né en 1946 dans la ville portuaire de Dalian, ce créateur autodidacte, jamais formé dans une académie des beaux-arts, a bâti une carrière qui défie toute logique institutionnelle. Cardiologue, secrétaire ministériel, chanteur d’opéra, cuisinier, électricien… Li Hongtao a collectionné les métiers avant que sa passion dévorante pour la peinture ne s’impose comme l’axe central de son existence [1]. Cette trajectoire improbable explique peut-être pourquoi ses oeuvres échappent si magistralement aux conventions établies.

Ce qui frappe d’emblée dans l’oeuvre de Li Hongtao, c’est sa vision singulière du mariage entre tradition orientale et expressionnisme occidental. Il ne s’agit pas d’une simple fusion superficielle, mais d’une véritable transmutation alchimique où les principes du shanshui (peinture traditionnelle chinoise de paysage) et la fougue gestuelle de l’expressionnisme abstrait s’entrelacent pour créer une nouvelle langue picturale. Li ne fait pas de la peinture à l’huile avec des techniques chinoises, ni de la peinture chinoise avec des matériaux occidentaux, il génère un langage visuel entièrement nouveau qui transcende ces catégories simplistes.

Contempler une toile de Li Hongtao, c’est s’immerger dans un maelström chromatique où les couleurs semblent animées d’une vie propre. Dans 《蝶恋花》 (“Papillon amoureux des fleurs”), le rouge, le jaune et le bleu s’entrelacent en une danse cosmique, créant des zones de tension et d’harmonie qui évoquent moins un jardin concret qu’une cartographie émotionnelle de la relation entre êtres vivants. Ses coups de pinceau, tantôt délicats comme la calligraphie xieyi, tantôt explosifs comme un Pollock oriental, traduisent une maîtrise technique au service d’une ambition philosophique.

Dans ses meilleures réalisations, Li Hongtao réussit un véritable prodige : ses tableaux ne semblent pas peints, mais surgis d’un processus naturel, comme si les pigments s’étaient organisés spontanément selon les mêmes principes qui gouvernent la formation des nuages ou le mouvement des vagues. L’oeuvre fait oublier qu’elle est produite par un travail sur la matière et apparaît comme une émanation directe de forces cosmiques.

La théorie des cinq éléments (wuxing) de la cosmologie chinoise traditionnelle imprègne profondément l’oeuvre de Li. Lorsqu’il juxtapose le bleu (eau) et le rouge (feu), ce n’est pas simplement pour leur contraste visuel, mais pour créer un équilibre énergétique fondé sur les principes de génération et de domination des éléments. “La couleur blanche nourrit les poumons, la verte le foie, la jaune la rate, la noire les reins,” explique-t-il [2], révélant ainsi comment sa pratique picturale s’enracine dans une conception médicinale et cosmologique de l’harmonie.

Cette dimension thérapeutique de son art n’est pas à prendre à la légère. Rappelons que Li Hongtao est aussi médecin traditionnel chinois. Sa compréhension du corps humain comme microcosme reflétant les principes de l’univers informe directement sa pratique artistique. Il ne peint pas simplement pour séduire l’oeil, mais pour harmoniser les énergies, pour restaurer un équilibre perturbé. C’est pourquoi ses oeuvres sont souvent qualifiées de “peintures énergétiques” (nengliang hua) [3], terme qui souligne leur capacité supposée à influencer positivement l’état psychique et physique du spectateur.

Cette approche explique pourquoi ses tableaux, bien qu’abstraits, conservent une connexion profonde avec les rythmes naturels. Ils ne sont pas des exercices formalistes détachés du réel, mais des extensions du souffle vital qui anime toute chose. L’oeuvre de Li Hongtao ne représente pas le monde, elle participe de son processus continu de transformation.

Prenons par exemple son oeuvre magistrale 《风暴追逐者》 (“Le Pourchasseur de tempêtes”). On y distingue, au milieu d’un tourbillon de couleurs évoquant un cyclone, un petit point rouge représentant un être humain confronté aux forces colossales de la nature. Cette oeuvre, considérée comme la première peinture abstraite représentant une tempête terrestre [4], défie nos attentes. Au lieu de nous montrer un individu écrasé par les éléments, Li nous présente un être serein, presque jovial dans sa confrontation avec l’immensité. Ce n’est pas une représentation du désespoir face aux forces naturelles, mais une célébration de la résilience humaine.

Cette vision optimiste, cette foi en la capacité humaine à trouver l’harmonie même au coeur du chaos, distingue fondamentalement Li Hongtao des expressionnistes abstraits occidentaux comme Rothko ou Pollock, souvent habités par l’angoisse existentielle. Si Li partage avec eux la gestualité et l’énergie du coup de pinceau, sa philosophie sous-jacente reste résolument ancrée dans une conception taoïste du monde où les opposés ne s’annulent pas mais se complètent.

Il serait toutefois réducteur de voir Li Hongtao uniquement comme un peintre philosophe. Sa maîtrise technique est stupéfiante. Sa capacité à créer des textures variées, du glacis transparent aux empâtements sculptés au couteau, démontre une connaissance approfondie des propriétés matérielles de la peinture à l’huile. Li Hongtao a manifestement intégré la leçon technique des grands maîtres occidentaux tout en la transcendant par une sensibilité profondément chinoise.

Cette hybridité fondamentale place Li Hongtao dans une position unique sur l’échiquier de l’art contemporain. Trop chinois pour les occidentalistes, trop occidental pour les traditionalistes, il incarne parfaitement ce que le théoricien Homi Bhabha appelle le “tiers-espace”, cette zone intermédiaire où les identités culturelles se négocient et se réinventent. Li n’est ni un peintre chinois utilisant des techniques occidentales, ni un peintre occidental inspiré par l’esthétique chinoise; il est le créateur d’un langage visuel original qui transcende ces catégories.

Cette position d’entre-deux explique peut-être pourquoi son oeuvre a connu une reconnaissance internationale spectaculaire tout en restant relativement méconnue des cercles académiques. Exposé au Louvre en 2011 [5], au siège des Nations Unies à New York en 2013 [6], au Musée d’Histoire Moderne de Russie en 2014 [7] et au Musée Casalese en Italie en 2015 [8], Li Hongtao a reçu en 2000 le “Prix Van Gogh” lors de l’exposition internationale d’art oriental à Rotterdam [9]. Le directeur du Forum artistique international européen, Wolfgang Becker, l’a même surnommé “le Van Gogh des côtes chinoises” [10], surnom qui, bien que simplificateur, souligne la puissance émotionnelle de son usage de la couleur.

Ces comparaisons avec Van Gogh ne sont pas fortuites. Comme le maître néerlandais, Li Hongtao utilise la couleur comme vecteur d’émotion pure, dépassant sa fonction descriptive pour atteindre une dimension expressive. Cependant, là où Van Gogh traduisait souvent sa détresse psychique, Li canalise une énergie positive, vibrante, presque extatique. Ses tableaux irradient une joie cosmique qui contraste fortement avec le tourment existentiel si présent dans l’art occidental moderne.

Cette joie n’est pas naïve; elle découle d’une philosophie profonde qui voit dans l’harmonie des contraires le fondement même de l’existence. Lorsqu’il juxtapose des couleurs complémentaires, lorsqu’il équilibre des zones de densité et de légèreté, Li Hongtao ne fait pas que composer visuellement, il met en scène le ballet du yin et du yang, ces forces opposées et complémentaires qui structurent l’univers selon la pensée chinoise traditionnelle.

Sa série 《爱与美二旋律》 (“Double mélodie d’amour et de beauté”), créée spécifiquement pour le Musée d’histoire contemporaine de Russie en 2014 [11], illustre parfaitement cette conception. Chaque tableau fonctionne comme une partition visuelle où les couleurs, telles des notes, s’organisent en harmonies et contrepoints. L’influence musicale est évidente, rappelons que Li a été chanteur d’opéra, mais il ne s’agit pas d’une simple synesthésie. Plus profondément, ces oeuvres explorent la correspondance structurelle entre harmonie musicale et harmonie cosmique, entre rythme sonore et pulsation universelle.

Cependant, malgré ces succès internationaux, Li Hongtao reste un artiste paradoxal, presque insaisissable. Célébré par les institutions mais restant en marge des mouvements officiels, adulé par les collectionneurs mais relativement peu théorisé par les critiques, il occupe une position d’outsider au sein même de l’establishment artistique. Cette position marginale lui confère une liberté créative rare, lui permettant d’évoluer sans se soumettre aux diktats des modes artistiques.

Ce qui frappe dans l’oeuvre de Li Hongtao, c’est ce paradoxe d’être à la fois entièrement ancré dans sa culture d’origine et complètement universel. Ses tableaux sont des fenêtres non pas sur la Chine ou l’Occident, mais sur la condition même de l’être-au-monde. Cette tension productive entre spécificité culturelle et résonance universelle constitue l’une des forces majeures de son travail.

Le processus créatif de Li Hongtao est particulièrement intéressant. Contrairement à l’image romantique de l’artiste en transe créative, Li travaille avec une discipline quasi scientifique. Chaque tableau est précédé d’une période de méditation, puis d’esquisses préparatoires où il élabore sa composition. Ce n’est qu’ensuite qu’il se lance dans l’exécution proprement dite, alternant moments de fougue gestuelle et pauses contemplatives. Ce rythme de création reflète sa conception taoïste de l’alternance entre action (yang) et non-action (yin).

Son processus créatif semble fondé sur une compréhension intuitive de la puissance dialectique des contrastes. Li Hongtao comprend que la juxtaposition d’éléments opposés produit une synthèse qui transcende ces éléments individuels. Ses compositions ne sont pas de simples assemblages de formes mais des champs de forces où les tensions visuelles génèrent une énergie qui dépasse la somme des parties. Cette approche explique la puissance kinétique qui émane de ses oeuvres, donnant au spectateur l’impression qu’elles continuent d’évoluer même sous son regard fixe.

Les tableaux de Li Hongtao fonctionnent comme des systèmes énergétiques autonomes, presque des organismes vivants qui entrent en résonance avec leur environnement. Cette vitalité intrinsèque distingue ses oeuvres des expérimentations formelles froides qui dominent souvent l’art abstrait contemporain. Chez Li, l’abstraction n’est pas un refuge contre le monde mais un moyen de pénétrer plus profondément son essence dynamique.

Cette vitalité est particulièrement évidente dans sa série 《八方来潮》 (“Marées des huit directions”) [12], où le mouvement tourbillonnant des couleurs évoque les courants océaniques. Inspiré par les observations de l’artiste lors de ses nombreux séjours au bord de la mer à Dalian, ces oeuvres ne représentent pas tant l’aspect visuel de l’océan que ses qualités dynamiques, son rythme, sa fluidité, sa puissance. Li Hongtao parvient à capturer non pas l’apparence de l’eau mais son essence.

Cette approche essentialiste nous ramène à la notion taoïste de xing er shang, “ce qui est au-delà de la forme”. Pour les philosophes taoïstes, la réalité ultime transcende les apparences matérielles. Li Hongtao applique ce principe à sa pratique artistique, cherchant à représenter non pas l’aspect extérieur des choses mais leur principe interne, leur qi ou énergie vitale. Comme l’exprime le titre d’une de ses expositions majeures, “大象无形” (“La grande image est sans forme”) [13], il vise à rendre visible l’invisible.

En tant que critique d’art, je dois avouer que l’oeuvre de Li Hongtao m’a initialement déconcerté. Habitué aux grilles de lecture occidentales, j’ai d’abord cherché à l’analyser en termes de composition formelle, d’influences stylistiques, de positionnement dans l’histoire de l’art. Mais ces approches traditionnelles se sont révélées inadéquates face à une oeuvre qui demande non pas à être décodée intellectuellement mais expérimentée sensoriellement.

Car c’est bien d’expérience qu’il s’agit avec Li Hongtao. Ses tableaux ne sont pas des objets à contempler passivement mais des champs énergétiques avec lesquels entrer en résonance. Cette dimension expérientielle explique pourquoi ses oeuvres ont un impact si puissant dans l’espace physique d’une galerie, impact que les reproductions photographiques ne peuvent que suggérer. La texture de sa peinture, les subtiles variations de brillance et de matité, les effets de transparence et d’opacité, tous ces éléments contribuent à une expérience sensorielle totale.

Cette qualité immersive rapproche son travail des théories de l’esthétique relationnelle développées par Nicolas Bourriaud. Selon ce dernier, l’art contemporain le plus significatif est celui qui crée non pas des objets mais des situations intersubjectives, des espaces de relation. Les tableaux de Li Hongtao, par leur capacité à transformer l’atmosphère d’un lieu et à altérer l’état d’esprit du spectateur, participent pleinement de cette conception relationnelle de l’art.

Mais là où de nombreux artistes relationnels occidentaux opèrent principalement dans le domaine sociopolitique, Li Hongtao situe cette relation dans le champ énergétique et cosmologique. Il ne cherche pas tant à transformer nos rapports sociaux qu’à harmoniser notre relation au cosmos. Cette différence fondamentale d’orientation reflète la persistance d’une vision du monde spécifiquement chinoise, où l’humain est considéré comme un microcosme reflétant les principes du macrocosme.

Cette vision cosmologique s’exprime avec une clarté particulière dans ses oeuvres inspirées par les éléments naturels. Dans 《江山绿映红》 (“Montagnes et rivières, reflets verts et rouges”), le contraste entre les tons froids et chauds ne traduit pas simplement une opposition visuelle mais évoque la complémentarité fondamentale du yin et du yang, de l’eau et du feu, du féminin et du masculin. Cette dimension symbolique enrichit considérablement la lecture de l’oeuvre sans jamais tomber dans l’allégorie simpliste.

L’influence des grands calligraphes et peintres chinois traditionnels est perceptible dans l’approche de Li Hongtao. Comme eux, il considère que l’art véritable naît lorsque la technique, parfaitement maîtrisée, devient invisible pour laisser place à l’expression pure du souffle vital. La tradition chinoise nous enseigne qu’une fois la maîtrise atteinte, l’artiste doit oublier la technique pour peindre avec son coeur. Li Hongtao semble avoir pleinement intégré cette sagesse ancestrale.

Cette transcendance de la technique nous ramène à la question fondamentale de la liberté artistique. Dans un monde de l’art contemporain souvent dominé par des considérations conceptuelles ou politiques, Li Hongtao défend avec force l’autonomie de l’expérience esthétique. Ses tableaux ne sont pas des illustrations d’idées préexistantes mais des explorations ouvertes où la peinture pense à travers ses propres moyens, couleur, forme, texture, geste.

Li Hongtao est profondément engagé dans les questions de son temps, notamment la relation entre humanité et nature à l’ère de la crise écologique. Dans une interview accordée à l’agence de presse Xinhua en 2014, il affirme que “les bonnes peintures peuvent faire ressortir l’amour, la beauté, la vertu et la bonté des gens” [14]. Ses paysages abstraits, avec leur fusion des éléments naturels et leur célébration des forces vitales, peuvent être lus comme des méditations visuelles sur notre appartenance à un écosystème planétaire. Ils nous rappellent que nous ne sommes pas séparés de la nature mais intégrés dans ses cycles et ses flux.

Cette dimension écologique est particulièrement évidente dans sa série 《欢腾的彩灵》 (“Esprits colorés en liesse”), où les formes organiques semblent pulser d’une vitalité presque animiste. Ces oeuvres évoquent un monde où chaque être, chaque phénomène naturel est habité par une conscience, une âme. Cette vision animiste, profondément enracinée dans les cultures traditionnelles, offre un contrepoint puissant au matérialisme mécaniste qui a contribué à notre crise environnementale actuelle.

Le parcours de Li Hongtao incarne cette qualité si précieuse dans l’art contemporain : la capacité à créer un langage visuel authentiquement personnel qui transcende les catégories établies. Ni traditionnel ni avant-gardiste, ni oriental ni occidental, ni figuratif ni abstrait, ou plutôt tout cela à la fois, il occupe cet espace intermédiaire où la création véritable peut advenir.

L’oeuvre de Li Hongtao nous invite à reconsidérer les dichotomies qui structurent notre pensée esthétique. Est-il un peintre chinois ou un peintre universel? Un innovateur ou un gardien de traditions? Un abstractionniste ou un paysagiste? La beauté de son art réside précisément dans son refus des catégorisations réductrices. Comme le Tao qu’aucun nom ne peut définir, sa peinture échappe aux étiquettes pour nous confronter directement à l’expérience du vivant dans sa plénitude.

Face à un tableau de Li Hongtao, ne cherchez pas à l’analyser froidement, laissez-vous plutôt envahir par son énergie chromatique, par sa pulsation rythmique, par son souffle vital. Car c’est dans cette expérience directe, non médiatisée par les concepts, que réside la véritable puissance de son art. Une puissance qui, par-delà les différences culturelles et historiques, nous rappelle notre commune appartenance au grand rythme cosmique.

Et si vous n’êtes toujours pas convaincus, si vous restez attachés à vos catégories rigides et vos préjugés occidentalocentriques, eh bien, continuez à vous encroûter dans vos certitudes stériles. Pendant ce temps, Li Hongtao continuera de créer des oeuvres qui respirent la vie, la joie et l’harmonie, trois qualités dont notre monde a cruellement besoin.


  1. “Une plume paisible, un sage solitaire, Impressions de M. Li Hongtao, artiste polyvalent en calligraphie, peinture et gravure”, Comité municipal de Zhuhai de la Ligue démocratique de Chine, 4 septembre 2018.
  2. “Une bonne peinture peut éveiller l’amour, la beauté, la vertu et la bonté chez les gens, Entretien avec le peintre moderne d’art abstrait Li Hongtao”, Agence de presse Xinhua, 8 septembre 2014.
  3. “Li Hongtao | Des critiques du monde entier qualifient ses oeuvres de “peintures d’énergie” ; ses oeuvres ont reçu le “Prix Van Gogh d’or””, AiYi, 25 août 2017.
  4. “Conseiller de la Revue nationale d’art de Chine, critique d’art Chai Er-de”, cité dans “Les évaluations des célébrités internationales sur l’art pictural de Li Hongtao”, lihongtaoart.com.
  5. “Le ministère chinois de la Culture soutient pour la première fois l’organisation d’une exposition personnelle de Li Hongtao au “Louvre en France””, China Art Network, 2011.
  6. “Libérer l’énergie positive de la fusion artistique entre l’Orient et l’Occident, L’exposition “L’image sans forme” de Li Hongtao inaugurée en grande pompe au siège des Nations Unies”, Radio des Nations Unies, 27 mars 2013.
  7. “Le Musée central d’histoire moderne de Russie organise l’exposition Le rêve chinois : harmonie de l’amour et de la beauté, présentant les oeuvres du peintre abstrait contemporain Li Hongtao”, Département des échanges culturels internationaux du ministère de la Culture, septembre 2014.
  8. “Le musée Casares de Trévise, en Italie, organise une exposition personnelle de Li Hongtao”, Association chinoise des échanges culturels internationaux, juillet 2015.
  9. “L’oeuvre L’été de l’eau courante de Li Hongtao remporte le “Prix Van Gogh d’or” à l’exposition internationale d’art oriental Nouveau siècle européen tenue à Rotterdam, Pays-Bas, avec la participation d’artistes de 11 pays d’Orient et d’Occident”, Présentation de l’exposition du Musée des beaux-arts de Shenzhen, 2017.
  10. “D’un regard européen, cet art composite incarne une compréhension profonde de la riche tradition picturale et culturelle chinoise, tout en intégrant la puissance expressive de l’art occidental. Cette synthèse artistique est imprégnée de la passion ardente et du désir vibrant de l’artiste, Li Hongtao, le Van Gogh de la côte chinoise !”, Professeur Wo Beck, président du Forum international d’art en Europe et directeur du Musée Ludwig en Allemagne, 2000.
  11. “La série de 28 oeuvres Les deux mélodies de l’amour et de la beauté“, Présentation des collections du Musée central d’histoire moderne de Russie, 2014.
  12. “Chef-d’oeuvre contemporain de la peinture à l’huile abstraite : Oeuvres de Li Hongtao (galerie de photos)”, Groupe de presse intégré du Journal de l’alimentation de Chine, 07 septembre 2023.
  13. “L’exposition de peinture à l’huile de Li Hongtao L’image sans forme inaugurée au siège des Nations Unies”, Nouvelles de l’ONU, mars 2013.
  14. “Une bonne peinture peut éveiller l’amour, la beauté, la vertu et la bonté chez les gens”, Entretien mené par les journalistes Cao Yan et Liu Yiran de l’agence Xinhua, 07 septembre 2014.
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Référence(s)

LI Hongtao (1946)
Prénom : Hongtao
Nom de famille : LI
Autre(s) nom(s) :

  • 李洪涛 (Chinois simplifié)
  • 古树 (Chinois simplifié)
  • Gushu

Genre : Homme
Nationalité(s) :

  • Chine

Âge : 79 ans (2025)

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